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Adeline Rosenstein

Metteuse en scène, comédienne et auteurice, Adeline Rosenstein (1971) est originaire de Genève et de nationalité allemande. Sa démarche, que l’on peut qualifier d’écriture documentaire théâtrale, la mène à se confronter à des questions de société et d’histoire dans une approche à la fois engagée et réflexive. Après avoir suivi une formation de clown auprès de Pierre Dubey à Genève, elle obtient en 1995 un diplôme de l’école d’acteurs Nissan Nativ de Jérusalem, avant de compléter sa formation par un diplôme de mise en scène Bat-HfS-Ernst Busch à Berlin en 2002. Après de longs séjours à Buenos Aires et à Bruxelles, à l’occasion de la co-écriture avec le sociologue Jean-Michel Chaumont (UCL) d’une comédie (Les Experts, 2006-2008), elle s’installe définitivement en Belgique où elle travaille depuis 2008 comme dramaturge, traductrice de l’allemand, comédienne, metteuse en scène, Elle fut active également dans des associations de quartier à Schaerbeek.

C’est au Théâtre Océan Nord et au Théâtre La Balsamine qu’elle crée les 6 épisodes de la série décris-ravage, projet documentaire sur la question de Palestine qui obtient les prix de la critique 2014 et prix SACD 2016 catégorie « découvertes ». Elle est également co-autrice avec David Stampfli de pièces radiophoniques conçues par des femmes en alphabétisation. Ses nombreuses collaborations avec le milieu universitaire témoignent d’une réflexion approfondie concernant le type de savoirs mobilisés, construits et véhiculés par son travail.

Entre 2019 et 2022 elle crée les 4 épisodes de Laboratoire Poison spectacle documentaire sur la représentation et la répression de quatre mouvements de résistance.

 

Les deux séries “décris-ravage“  et “Laboratoire Poison“ sont en tournée. 

En 2021 avec Hanna El Fakir, David Stampfli et Marie Devroux elle crée Transmission Poison, une série de performances podcasts.

 

Elle est également autrice et dramaturge pour les compagnies telles que Tête dans le Sac Marionnettes (Aman Aman) ou pour Léa Drouet (les Hostilités) ou Thibaut Wenger (Détester tout le Monde) et d’autres (Salim Djaferi, Habib Ben Tanfous et prochainement Marie Devroux). Enfin elle a à cœur de partager ses outils de recherche lors d’antiuniversités avec des collègues porteur.euses de projets et d’anticonserves avec des plus jeunes artistes en formation.

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